Repêchage NBA 2023: la plus grande faiblesse de chaque choix de loterie projeté

Les équipes de la NBA sont en train d'évaluer les faiblesses des prospects du repêchage de la NBA 2023, en évaluant à la fois leurs impacts négatifs potentiels sur leur liste, ainsi que la probabilité d'amélioration.

Même le choix de Victor Wembanyama a des trous dans son jeu, bien que les Spurs de San Antonio s'inquiéteront de les aborder après l'avoir choisi n ° 1.

Sinon, chacune des autres perspectives de loterie a un défaut qui fera hésiter les équipes lors de la projection de leur forme et de leurs trajectoires NBA. Nous avons décomposé le plus gros problème pour les 14 meilleurs choix de notre brouillon mis à jour et expliqué comment cela limite traditionnellement les joueurs après avoir fait le saut.

Projection de brouillon simulé: n ° 14 (pélicans de la Nouvelle-Orléans)

Poste : SG/SF

Année : Étudiant de première année

École : Michigan

Alors que les dépisteurs reconnaissent que la polyvalence de tir de Jett Howard crée un ajustement offensif facile, ils se demandent qui il défendra.

Il était tout simplement trop facile de battre le dribble ou de jouer sur les drives. Le manque de résistance était évident. Les buteurs adverses ont pu se rendre à leur place contre Howard sans avoir à exécuter un mouvement avancé de manipulation du ballon ou une première étape explosive.

Son jeu de jambes et ses efforts ont besoin de travail, et il n'a pas bien réagi dans les situations d'écran de balle.

Un pourcentage de vol de 0,8 est également inhabituellement bas pour une aile, car il reflète à la fois une rapidité et une anticipation limitées.

Mettre Howard sur un gros ne semble pas non plus être une réponse, étant donné la facilité avec laquelle les joueurs du périmètre ont pu le faire reculer.

Projection de brouillon simulé : Raptors de Toronto n ° 13

Poste : SG

Année : Étudiant de première année

École : Arkansas

Nick Smith Jr. n'a disputé que 17 matchs cette année, mais l'histoire dirait aux équipes d'éviter les prospects qui terminent en dessous de 40,0% à l'intérieur de l'arc.

L'inefficacité de deux points était liée à une combinaison de maniement moyen du ballon, d'explosivité limitée, de manque de force et de peur du contact.

Il n'a réussi que 18 tirs sur la jante avec l'Arkansas, car il a eu du mal à y arriver et a souvent contré les bloqueurs de tir en essayant des finitions plus difficiles. Tourner le coin continuera d'être un défi qui mettra plus de pression sur sa constance dans la prise de vue du périmètre.

Ajoutez à cela le manque de jeu, et les dépisteurs ont commencé à remettre en question la forme et l'avantage de Smith en tant que gardien de buteur qui n'offre pas beaucoup de valeur de passe ou de pression sur la jante.

Projection de brouillon simulé: n ° 12 (Oklahoma City Thunder)

Poste : SG/SF

Année : Étudiant de première année

École : Kentucky

Cason Wallace manque d'explosivité du point d'attaque, ce qui conduit à des lay-ups contestés et à des flotteurs à grande arche au lieu de paniers et de lancers francs plus faciles (2,2 tentatives par match).

Il n'y a pas une tonne de tremblement ou d'éclatement dans son jeu. Et il n'a pas montré qu'il pouvait compenser en tirant à distance du dribble, car Wallace n'a fait que neuf pull-up trois sur 27 tentatives.

Il est principalement un type de buteur "prenez ce que la défense abandonne", ce qui fonctionne toujours et se traduit par une attaque efficace. Cela le rend simplement vulnérable aux jeux calmes (moins de huit points 12 fois) et rend plus difficile l'image d'une option supérieure.

Projection de brouillon simulé: n ° 11 (Orlando Magic, via Bulls)

Poste : SG

Année : Étudiant de première année

École : Baylor

La confiance semble agir comme carburant pour faire des coups ou Keyonte George, mais elle conduit également à trop de sauteurs précipités ou de passes sauvages.

Ses pourcentages auraient probablement été plus élevés s'il avait réduit certaines tractions. Il a eu du mal à les faire entrer dans l'arc (15 sur 51). Mais il a même pris beaucoup de trois points contestés, terminant avec plus du double (88) du nombre de tentatives de capture et de tir gardées que de tentatives ouvertes (40).

Mis à part l'excès de confiance, l'explosivité limitée autour du panier était probablement à l'origine de bon nombre de ses décisions et de sa préférence pour s'installer. Avec une forte utilisation de 30,8%, il n'a plongé que trois fois en 944 minutes toute la saison.

Mais George a également fait de mauvais choix en tant que passeur, ce qui a entraîné plus de revirements (95) que de passes décisives (91), ce qui n'est pas idéal pour un combo guard perçu.

Projection de brouillon simulé: n ° 10 (Dallas Mavericks)

Poste : SG/SF

Année : Étudiant de première année

École : Kansas

Bien que dans la discussion pour le meilleur tireur du repêchage, Gradey Dick a du mal à créer pour lui-même.

La majorité de son auto-création se traduit par un ou deux pull-ups de dribble. Il n'a pris que deux coups hors de l'isolement toute la saison, montrant une rafale limitée pour passer. Sur ses 174 buts sur le terrain, 150 provenaient de spots, de transitions, de hors écrans, de planches offensives et de coupes. Et il y a encore un chemin à parcourir en tant que marqueur hors balle. Mais il ne sera pas vraiment une option d'écran de balle ou une arme à utiliser à la fin des horloges.

Lorsqu'il tentait de conduire, il était souvent contraint de perdre l'équilibre du bord.

Le pourcentage d'assistance de 9,4 de Dick et ses 2,5 tentatives de lancers francs (en 32,7 minutes) mettent en évidence un manque de menace hors du dribble et de polyvalence globale.

Projection de brouillon simulé: n ° 9 (Utah Jazz)

Poste : PG/SG

Année : Étudiant de première année

École : Alabama

La combinaison de compétences d'auto-création limitées et de tirs tremblants pourrait rendre difficile pour Anthony Black de marquer dans le demi-terrain.

Il s'est fortement appuyé sur les entraînements à écran de balle et la transition à Arkansas, où il a converti quatre paniers d'isolement et n'a effectué que 17 tractions sur 54. On se demande s'il offre suffisamment d'insaisissabilité et de création pour un manieur de balle principal.

Mais en dehors de la conversion des coupes, il ne possède pas beaucoup de compétences en matière de score hors balle, ayant tiré 32,4 points sur des points et n'ayant flashé aucun véritable tir hors écran. Black obtient peu d'élévation sur un tir sauté qui semble principalement plat en laissant ses mains. De temps en temps, vous pouvez voir un accroc quand il monte dans sa sortie qui perturbe toute fluidité.

Sa valeur immédiate se présentera sous la forme de maniement du ballon pick-and-roll, de déplacement du ballon et de défense. Mais les Noirs pourraient avoir du mal à atteindre régulièrement des scores à deux chiffres en marquant tôt.

Projection de brouillon simulé: n ° 8 (Washington Wizards)

Poste : SF/PF

Année : Étudiant de première année

École: Villanova

Le pourcentage d'assistance de 6,4 de Cam Whitmore est le plus bas parmi les gardes, les ailes ou les attaquants de la NBA dans notre dernier projet de simulation.

La vision en tunnel et les mauvaises lectures sont principalement à l'origine de ce nombre. Whitmore a apparemment du mal à effectuer plusieurs tâches avec le ballon. Il prédéterminera les conduites sans contrer les défenses ou les situations. Aussi efficaces que soient sa puissance et son explosivité pour la conduite, il force trop le problème, se précipitant souvent dans la circulation. Il prend trop de temps à traiter après la capture, permettant aux défenses de se mettre en place, et il manque des coéquipiers à gauche et à droite lorsqu'il fait son mouvement hors du dribble.

Une fois dans la voie, il répond rarement à la protection de la jante avec des coups de pied et essaie plutôt d'utiliser sa force pour maîtriser les bloqueurs de tir.

Bien que les outils physiques, la prise de vue et l'auto-création occasionnelle de Whitmore puissent indiquer des avantages, il n'y a pas de bons antécédents de garde ou d'espoirs avant de devenir des stars après avoir enregistré un taux d'assistance aussi bas que le sien. Les seuls espoirs de moins de 6'8 "à être repêchés au premier tour qui ont eu des saisons universitaires avec un pourcentage d'assistance inférieur à celui de Whitmore, selon Barttorvik.com : Kenneth Faried, Omari Spellman, Larry Nance Jr., Christian Braun, Lazar Hayward, Keegan Murray, Rui Hachimura, Josh Huestis, Shabazz Muhammed, TJ Warren et Corey Kispert.

Projection de brouillon simulé: n ° 7 (Indiana Pacers)

Poste : PF

Année : Étudiant de première année

École : Floride centrale

Taylor Hendricks pourrait supporter de développer son auto-création, bien que son mélange convoité de tir constant et de polyvalence défensive crée toujours un archétype précieux. La plus grande préoccupation peut être son faible taux de conversion autour du panier lorsqu'il n'est pas configuré pour un panier facile.

Hendricks n'a tiré que 44,7% sur les lay-ups, un nombre étrangement bas pour un joueur avec son cadre et ses capacités athlétiques. Il n'y avait aucune finesse dans ses finitions, avec beaucoup de ses tentatives qui claquaient fort sur le bord ou le verre. De simples compétitions le dérangeaient vraiment ou l'obligeaient à modifier inutilement son tir. Une quantité surprenante de ses tirs à courte portée ont été bloqués cette saison.

Bien que le tir de Hendricks soit un gros tirage, les compétences et les passes limitées en dehors du dribble rendent difficile l'image d'un joueur de périmètre à forte utilisation. Il devra s'améliorer pour convertir les tirs dans des fenêtres plus étroites à l'intérieur.

Projection de brouillon simulé: n ° 6 (Orlando Magic)

Poste : SG/SF

Âge : 20

Équipe: Prolongation Élite

Le tir est une faiblesse évidente pour Ausar Thompson, mais il a également eu des séquences encourageantes qui suggèrent une amélioration. Ce sont les problèmes de prise de décision qui peuvent causer plus de problèmes au début et finalement être plus difficiles à surmonter.

Il a tendance à forcer le ballon dans des espaces restreints, à lancer des coureurs sauvages et à faire des courses hors du dribble. Il a réalisé en moyenne 4,9 revirements cette saison, et c'était avec son frère, Amen, jouant le meneur la plupart du temps.

Les athlètes ne deviennent pas beaucoup plus rapides, plus rebondissants ou plus élastiques que Thompson, mais il était un finisseur inefficace. Il a souvent choisi les mauvais moments pour attaquer, ainsi que les mauvais moments pour s'installer autour du périmètre pour les sauteurs de dribble de milieu de gamme contestés ou les trois d'isolement.

Projection de brouillon simulé: n ° 5 (Detroit Pistons)

Poste : PF

Année : Étudiant de première année

École : Houston

Jarace Walker a fonctionné comme buteur pour 35,0% des possessions de Houston. Et bien qu'il ait tiré 40,5% sur ces sauteurs sans dribble, le rapport de dépistage pour les défenses était clair: fermez fort et obligez Walker à poser le ballon.

Malgré une certaine habileté de maniement du ballon, un toucher et un cadre exceptionnel, il n'a converti que 13 des 45 entraînements vers les paniers après la capture. Walker n'est pas le plus rapide avec son premier mouvement, permettant aux défenseurs de rester attachés. Et malgré sa puissance et sa longueur, il a une sérieuse tendance à arrêter son entraînement court, à éviter le contact et à lancer un pourcentage inférieur de coureurs, tombant souvent loin du cerceau.

Il a fini par tirer à seulement 53,8% sur les lay-ups, et ses 2,2 tentatives de lancers francs par match n'étaient pas suffisantes pour un joueur avec ses outils physiques et son niveau de compétence.

Projection de brouillon simulé: n ° 4 (Houston Rockets)

Poste : PG/SG

Âge : 20

Équipe: Prolongation Élite

Les équipes devraient penser à Amen Thompson en tant que principal manieur de balle, principalement en raison de sa capacité à créer des avantages et à passer, mais aussi en raison de son mauvais tir pour un garde ou une aile.

Les défenseurs ont choisi de ne pas fermer ou de rester attachés à Thompson lorsqu'il repérait. Certains de ses ratés étaient loin du compte. Il ne semblait pas avoir beaucoup de commande/contrôle de son tir en suspension.

Et généralement, les meneurs ont besoin de tractions, mais Thompson n'en a pas qui semble être régulièrement menaçant.

Le fait qu'il soit parmi les cinq premiers choix projetés malgré les problèmes de tir vous montre à quel point son athlétisme, son jeu et sa défense peuvent être spéciaux. Mais Thompson aura besoin du bon ajustement avec le tir autour de lui.

Projection de brouillon simulé: n ° 3 (Portland Trail Blazers)

Poste : PG

Âge : 19 ans

Équipe: G League Ignite

Les 32,4 points de pourcentage de trois points de Scoot Henderson au tir sont sa plus grande faiblesse, mais c'est peut-être en fait la sélection des tirs qui est le plus gros problème. Un seul autre joueur au cours de la saison régulière de la G League a pris plus de sauteurs de milieu de gamme que Henderson, qui n'a tiré que 34,8% sur ces tentatives.

Alors qu'il a effectué 75,0% de ses lancers francs et semble avoir confiance en lui, sa sélection de tirs comprend un régime lourd de sauteurs à deux points contestés.

Les défenses ont également montré une volonté de passer sous les écrans, et finalement, Henderson devra commencer à mieux tirer sur le dribble, y compris derrière l'arc. Seulement 2,7 tentatives à trois points en 30,2 minutes reflètent un volume extrêmement faible pour un gardien dominant le ballon.

Projection de brouillon simulé: n ° 2 (Charlotte Hornets)

Poste : SG/SF

Année : Étudiant de première année

École : Alabama

Bien que l'un des tireurs les plus productifs du repêchage, Brandon Miller n'a tiré que 46,8% sur les lay-ups, se classant dans le 22e centile parmi les joueurs universitaires, par Synergy Sports.

Tout rebond qu'il montrait sur le sol ouvert semblait disparaître lorsqu'il conduisait contre une défense définie. Miller s'est souvent plié contre la protection de la jante sans trop d'explosion verticale. Un autre problème qu'il avait était de décoller au mauvais moment ou trop tôt, ce qui entraînait des angles impossibles sous la jante.

Trop souvent, il devait sauter, s'arrêter et atterrir sur deux pieds, limitant sa force et son explosivité tout en donnant à son défenseur plus de temps pour récupérer.

Miller a eu recours à beaucoup de coureurs, qu'il a eu du mal à convertir (12 sur 37), montrant une fluidité limitée pour les pénétrer avant d'atteindre un bloqueur de tir.

Il a traversé une belle période au milieu de la saison où il a commencé à se convertir avec des contre-arrivées efficaces. Mais les luttes sont revenues, et elles seront la grande faiblesse de Miller à surveiller alors qu'il tente de reproduire le succès des grandes ailes de la NBA.

Projection de brouillon simulé: n ° 1 (San Antonio Spurs)

Poste : PF/C

Âge : 19 ans

Équipe: Métropolitains 92

Bien qu'il soit facile de souligner le manque de force ou de physique de Victor Wembanyama, une plongée plus profonde montre la nécessité d'améliorer la prise de décision dans un rôle principal.

Il convient de noter qu'aucun autre jeune de 19 ans ne se voit confier le type d'utilisation ou de responsabilité que Wembayana est à l'étranger. Mais la barre est plus haute pour l'éventuel premier choix, et les San Antonio Spurs le lâcheront probablement dès le premier jour.

Il a tendance à être trop désinvolte ou irréaliste avec certaines de ses passes. Il peut prendre trop de temps pour faire une lecture du jeu depuis le poste, où les défenseurs aident souvent à essaimer ou à se faufiler derrière lui pour forcer les revirements. Et bien qu'il soit capable de frapper des coups classés 10 sur 10 sur l'échelle de difficulté, certaines de ses tentatives sont trop ambitieuses, qu'il s'agisse d'un flotteur à trois points, d'un recul profond ou d'une chute de base contestée.

Avec tant de battage médiatique autour de son mélange inédit de taille et de compétence, Wembanyama a l'habitude de jouer devant la foule et de mettre en évidence les bobines, essayant trop fort de prouver qu'il est un garde avec un corps de centre.

Statistiques fournies par Synergy Sports, Sports-Reference.com